La nouvelle poésie, d'autre part, « n'est pas simplement solaire » : elle peut être arachnéenne, saturnienne, « chargée de toutes les noirceurs et toutes les boues qui assiègent l'âme ou la cité ».
Lâchant de larges quantité d'eau de façon périodique, ces tempêtes indiquent que la basse atmosphère saturnienne contiendraient plus d'eau que celle de Jupiter.