Il est aussi très attentif aux contes et légendes que sa grand-mère lui raconte, d’où son goût pour les mystères de la nuit et toutes les sortes de diableries.
La réussite dépendait du spectacle, et moins du texte : le décors, la machinerie, les effets spéciaux, les diableries, la musique, les costumes ou le mouvement avaient plus d'importance.