Après une longue phase de déconsidération (le réemploi était fait grâce aux chiffonniers, ferrailleurs, cordonniers, rétameurs, etc., métiers peu considérés), le réemploi semble trouver un regain d'intérêt.
Le préjudice : le préjudice subi par le fiancé abandonné peut être tant moral (atteinte à l'honneur, déconsidération) que matériel (dépenses en vue du mariage, frais pour la vie conjugale future).