À partir des années 1990, les anarchistes francophones délaissent de plus en plus le mouvement pour l'indépendance du Québec, se retournant vers des courants punks, écologistes et antimondialistes.
Contrairement aux « antimondialistes », l'auteur affirme que ce n'est pas la mondialisation, mais une révolution des techniques de production qui est à l'origine de la « formidable explosion » des inégalités contemporaines.