Elle est capable de vivre toute l'année en plein air, de tirer parti de sa maigre pitance et de reconstituer ses réserves après une période de disette.
Cette soupe, une pauvre pitance, était faite avec ce qu'il restait en victuailles (essentiellement de vieux légumes, du gras et du pain), mais elle permettait aux indigents de survivre.
Il arrive ainsi que des personnes passent leur vie dans une forme de servage perpétuel, sans autre garantie que celle de se voir accorder leur pitance quotidienne.
Pour gagner sa pitance il travailla aussi durant les guerres comme chien de trait et plus anciennement comme chien de guerre et de combat dans les arènes.
Là où autrefois ils étaient considérés comme de véritables divinités, à qui on livrait femmes et enfants en pitance, ils sont aujourd'hui tombés dans un quasi-anonymat.