Le travail de surveillance du territoire forestier par les garde-feu était primordial pour la sécurité des usagers de la forêt et la protection du bois.
À l'est, s'élevait à quelques acres le camp des garde-feux, puis en face, le bureau du syndicat dans lequel les emplacements de la future ville étaient vendus.
Avec l'arrivée des ramasseuses-presse, il fut désormais possible de stocker le foin et la paille à l'extérieur dans une enceinte protégée par un garde-feu.