Le dol consiste en des manœuvres illicites du cocontractant qui provoque une erreur, considérée par la jurisprudence comme étant par défaut excusable (3 chbre civ-21 février 2001).
Booba s'explique dans la presse, s'il « n'excuse pas son geste, qui n'est pas excusable », il précise cependant que « l'attitude d'une partie du public n'est pas excusable non plus ».
L'erreur, pour vicier le consentement, doit avoir déterminé le consentement du contractant, elle doit être excusable (la contractant doit avoir eu raison de commettre ladite erreur).
Le manque de profondeur du jeu, tout comme la finition technique exécrable ont été considérés tant par la critique que par le public comme peu excusable.