Si l'on a autorisé la publication de tout cela, c'est afin d'amener l'auteur à réaliser avec honte qu'il a dépassé les limites de l'imagination la plus enfiévrée.
Après avoir procédé à une exécution, il rentrait chez lui, prenait un bain puis se couchait, la tête enfiévrée, gardant parfois le lit deux jours durant.