On lui reproche par exemple d'affirmer que la contrition suffit au pardon des péchés mortels et que l'absolution sacramentale ne devrait être donnée qu'après l'accomplissement de la pénitence.
Si on meurt sans confession ou sans la contrition parfaite (qui suppose l'intention de se confesser dès que possible), le risque encouru est la damnation pour l'éternité.
Elle est utilisée comme un moyen pour trouver la contrition et comme un moyen d'inscrire profondément l'humilité dans le cœur le plus intérieur de l'individu.