La deuxième partie de ce triptyque commence avec le scintillement chatoyant des accords serrés et répétés qui s’enrichissent, se transforment sans cesse, petit à petit.
Vous vous trouvez dans un merveilleux et chatoyant univers, chaud en couleurs et débordant d'une mièvrerie aussi guimauve et indigeste que les gentillets personnages qui le peuplent.
Ses couleurs, vibrantes, audacieuses parfois, posées avec délicatesse et subtilité offrent aux yeux un éclat chatoyant très particulier, exprimant tantôt la sérénité, tantôt la crainte, mais toujours la pureté.