S'ensuivent donc ces œuvres que l’on qualifie d’« anthropométries », où le corps cette fois dans la peinture joue ce même rôle de « stabilisation » de la matière picturale.
La biotypométrie est un dérivé de l'anthropométrie qui s'attache à travers l'évaluation de données corporelles mesurables à regrouper les êtres humains en catégories plus ou moins homogènes ou " types ".
L'analyse génétique a aujourd'hui fortement remplacé l'anthropométrie, à ceci près que les études de populations n'ont montré qu'une diversité humaine, impossible à catégoriser selon les paramètres de l'anthropométrie.